Tête de caryatide en bois stuqué peint

Catégorie : Antiquités françaises > Napoléon III

Numéro de l'article : EXDI 170

Epoque : Napoléon III (1851-1870)

Taille : H 31 x L 20 cm

Etat : Bon état, belle restauration

Photos (cliquez sur l'objet pour zoomer) :

Tête de caryatide en bois stuqué peintTête de caryatide en bois stuqué peintTête de caryatide en bois stuqué peintTête de caryatide en bois stuqué peint

Description :

Belle tête de caryatide en bois dur, stuquée et noircie. Elle a été restaurée de façon visible, ce qui lui donne encore plus de charme et en fait une pièce très décorative.

Charles Louis Napoléon Bonaparte, dit Louis-Napoléon Bonaparte (20 avril 1808 - 9 janvier 1873), est le premier président de la République française, élu le 10 décembre 1848 avec 74% des voix au suffrage universel masculin, ainsi que le troisième empereur des Français (1852-1870), sous le nom de Napoléon III. Il est donc à la fois le premier président de la République française et le dernier monarque français.

Issu de la maison Bonaparte, prince français à sa naissance et prince de Hollande, il est le neveu de Napoléon Ier, et le troisième fils de Louis Bonaparte, roi de Hollande, et de Hortense de Beauharnais, fille de l'impératrice Joséphine. Il devient l'aîné de la famille impériale après les morts successives de ses frères aînés et du duc de Reichstadt (Napoléon II, roi de Rome).

Ses premières tentatives de coup d'Etat, mal conçues et sans base populaire, échouent. Mais il profite des suites de la Révolution française de 1848 pour s'imposer en politique.

Son coup d'Etat du 2 décembre 1851 met fin à la Deuxième République, et lui permet ensuite de mener la restauration impériale à son profit, exerçant un pouvoir personnel sans partage, même si le caractère très autoritaire du Second Empire s'atténue après 1859 pour faire place progressivement à «l'empire libéral».

Le futur Napoléon III fait connaître tôt sa philosophie politique dans «Idées napoléoniennes» et dans «L'Extinction du paupérisme» (1844), mélange de romantisme, de libéralisme autoritaire et de socialisme utopique. Admirateur de la modernité britannique, il marque son règne par un développement industriel, économique et financier considérable, et par la transformation de Paris par le préfet Haussmann. La fin de son régime est scellée par sa défaite de 1870 lors de la guerre franco-prussienne.

Prix :    VENDU